Hinamori Aozora

[ Informations personnelles ]

* Nom : Aozora
* Prénom : Hinamori
* Âge : 17 ans
* Sexe : Féminin
* Village : Suna
* Grade : Kage ….
*Organisation: /
*Clan: /

[ Informations physiques et psychologiques ]

* Physique : Hinamorie, dit Hina n'est pas très grande. Elle mesure a peine 1 m 60. Elle est plutôt mince et a des formes bien proportionner. Elle à la taille fine et le ventre très plat. Hina est assez musclés, mais cela ne se distingue pas. Ses cheveux cours et lisse sont aussi noir que l'ébène, ses yeux grand et émerveillé aussi bleu que l'océan. Son visage est fin et ses trait sont doux. Sa peau est aussi blanche que la neige. Par conséquent ses lèvres claires paraisse transparente. La jeune fille a pour habitude de porté tantôt du noir tantôt du bleu. Elle préfère les robes courtes et moulantes au pant court. La tenue dont elle se part le plus souvent laisse apparaitre son dos. Sur sa peau blanche on peut voir un tatouage rouge sang. Il est le seul héritage de ses vrai parents, il est pour elle un cadeaux. Cherchant sans cesse a se découvrir, elle porte au poignet deux chaines. Elle lui rappelle qu’elle est prisonnière de son passé. Ces chaines son pour elle un défit qu’elle s’est lancé ! Elle ne les enlèvera pas avant d’avoir appris des choses sur ses vrai parents.

* Signe(s) particulier(s) : Tatouage a la signification inconnu dans le dos !

* Caractère : Hina a connu des moment bien difficile, mais elle n'a pas baissé les bras. Elle n'est pas du genre a abandonné. Jeune fille parfois insouciante, mais toujours raisonnable. Elle a toujours su que la vie ne tenait qu’a un fil. Elle en profite donc le mieux possible. Elle ne se prend pas la tête avec les histoires qu’elle juge sans importance. En revanche elle accorde le plus grand soin a ce qui lui semble important. Hina est aussi un jeune fille en pleine découverte d'elle même, contrainte de chercher son passé pour pouvoir construire son avenir, elle pense souvent a ses géniteurs mais cela ne la ralentie pas. Elle est courageuse !

[ Informations historiques ]

* Histoire :

Sa naissance:

La lune régnait cette nuit la. Le ciel était parsemé de nuages et la dame la lune montrait au monde sa face flamboyante, aussi rouge que le sang. Le chant d’espoirs du loup qui meurt d’amour résonnait dans la vallée. Ce fut a l’aube de l’équinoxe d’été. Dans une petite masure, a l’entré d’un village, le village de Suna no Kuni, un petit être vit le jour. Une demoiselle d'une vingtaine d'année, seize pour être exact, évanouie sur un lit, respirait à grandes bouffées l'air qui passait par la fenêtre ouverte. Elle avait le teint extrêmement pâle, presque cadavérique, les traits fins, les cheveux couleurs de jais. Son corps, bien que plein de crasse, était d'une minceur à faire peur. De son corps tout entier, sa poitrine seule bougeait, montant et descendant au gré de sa respiration. Elle était allongée sur une paillasse posée à même le sol. Au pied de celle-ci était assis un jeune homme, tenant tendrement entre ses bras le nouvelle-née. Cette jeune homme, de vingt ans à peine, était en tout points semblable à la femme évanouie, à la différence près que ses yeux était fait de spirale et non de couleur rouges sang. .Ces deux jeunes étaient amant. Dans les bras de l’homme, l'enfant s'époumonait à n'en plus finir, ne daignant pas succomber à la fatigue. La fillette avait quelques cheveux épars sur le crâne, d'un noir ébène, et aucune mèche d'une autre couleur ne venait troubler se jais uni. Son corps menu, frêle, s'imposait toutefois par la prestance de son regard de océan. Elle était le fruit d’un amour interdit, d’une union voulu mais impossible. D’un coter sa mère, jeune vierge du clan Uchiha, de l’autre son père, fière guerrière au puissant rinnegan.
Peut de temps après la libération, la petite fille fut délicatement posé dans un panier d’osier tressé. Ses parent attendirent la nuit, et le déposèrent au porte du village caché du sable. Il ne comprotait qu’un morceaux de papier marqué de:

« Je me nomme Hinamori Aozora »

Ne pouvant offrir a leur fille une vie digne d’elle, c’était sa seul chance. Les deux amant se séparèrent dans une dernière étreinte, condamné a ne plus se revoir après quatre ans d’amour incompris.

Son enfance:

Durand plusieurs années Hinamori grandit. Accueilli par deux veille personne, la fillette semblait heureuse. Accepté a l’école des ninjas, elle fut bien vite arselé. Ses yeux bleu océan et son incapacité face au ninjustu intriguait beaucoup les autres élèves. Tout le monde c’est hélas que quand un enfance et intriguer ou a peur, il s’en prend méchamment a l’objet de sa peur. Hinamori recevait souvent les cou et les moqueries de ses camarades. Elle ne bronchait pas. Jusqu’au jour au tous bascule, l’un d’entre eux alla trop loin. Pris dans une terrible colère, la fillette ne pu se contrôler et se graver alors sur ses pupille quelque chose d’inédit.

La marque des Uchiha: Le SHARINAN

Elle venait de découvrir son héritage. La fusion du rinnegan de son père et du sharingan de sa mère avait laissait place a la pupille la plus pure du monde. Quel beauté !
Les années passèrent, Hinamori se concentrait sur le genjustu et le taijustu. Ayant ressues avec succès son grade de Genin, elle avait volontairement placé son bandeaux sur ses deux yeux. Avec l’habitude, elle réussissait a se déplacer seulement grâce au son. Elle avait ainsi éguisé ses autres sens, toujours utile au combat.

Son adolescence:

Un beau soir d’été ou le soleil fondait comme du miel sur les dunes de sables, Hinamori était assise sur son balcon les jambes dans le vide. Tout était paisible dans le village. Hinamorie attendait l’examen chuunin qu’elle devrait passé dans quelque mois au village de Konoha no Kuni. Sa mère était alors très malade. Son père maintenant devenu vieux vint prendre une chaise et se posa près de sa petite perle. Hinamori toujours souriante, admirait le soleil et tourna la tête vers son père, les yeux caché par son bandeau. Une vois frêle et sèche s’éleva:

- Enlève ton bandeau, ma toute petite…

La jeune fille s’exécuta sans bronché. Posant doucement le bandeau sur ses genoux, elle tourna la tête vers son père et ouvrit lentement les yeux. Le vieillard eu un sot au cœur au vu de se bleu si pure et de ses pupille qu’il savait si destructrice.

- Ecoute mon enfant, se que je vais te dire est dure entendre, mais je n’irai pas par quatre chemin. Moi et mamie, nous t’avons trouvé devants les porte du village. Tu n’est pas notre fille. Dans le couffin dans lequel tu était il n’y avait qu’un morceaux de papier avec marqué ton nom !

Hinamori baissa les yeux un instant et sourit, illuminant ainsi le paysage déjà magnifique.

- Je l’est toujours su, au fond de moi je le savais. Ce n’est pas très grave, vous m’avez élever, vous donc pour moi mes parent.

Toujours souriante, Hinamori serra très fort son père dans ses bras. Un mois plus tard, les deux vieillard moururent ensemble laissant leurs enfant seul a 13 ans.

Plus tard:

Hinamorie grandit encore. S’embellissant de jour en jour. Elle révait de grand espace et de pouvoir prouver sa valeur au gens de son village qui avait un peu oublier la fille au sharingan bleu.

* Nindo : Ne jamais baissé les bras, toujours réfléchir avant d’agir. Tel est la clé pour retrouvé les morceaux d’un passé oublié !

Test RP :

( il n' a rien a voir avec le personnage !! )

Le jeune ANBU était affalé dans son fauteuil de cuir. Position peut digne, mais si relaxante. Toute la journée, il était resté ainsi a ne rien faire. Ayame ne faisait que ressasser de vieux souvenirs enfuit au fond de son cœur. Il cherchait toujours et en vain une bride de souvenirs oublié. Quelque chose qui lui aurait permit d’avoir ne serait-se qu’un indice sur son petit frère. Il ne se l’était avouer que très récemment mais son obsession pour ses origine ne lui était venu qu’a la vente de son frère par ses parent a de vil étranger. Ses parent l’avais protéger au détriment de son propre frère, encore si jeune et si fragile.


Oubliant un instant sa famille et ses problèmes, son esprit s’arrêta. Dans sa tête vide de toutes autre pensée, défilait comme un film les premières image de se qui avait été l’une des premières grande missions du jeune homme.

Tout avait commencé un soir de pleine lune. Le village de la feuille dormait sur ses deux oreilles, personne ne redoutait le moindre incident. Ayame était au chaud sous sa couverture en plume d’oie. Enrouler comme une chenille dans son cocon, il rêvait au prince charmant. La petite lucarne, seul fenêtre de sa chambre était grande ouverte. L’air paisible y entrait en sifflotant. La brise légère venait caresser le visage endormie du jeune ninjas. Il venait tout juste d’avoir 15 ans.

Sans le moindre bruit, deux pieds vinrent se posé sur les tuiles de la maison d’Aya. Le manoir des SOMA, un endroit peu sur la nuits d’après les commérages. ON racontait dans les rues de Konoha que les nuits de pleine lune on pouvait voir des rayons vert émanes de la maison situé le plus au nord du manoir, la maison d’Ayame.

Dans l’ombre l’on pouvait apercevoir un ninjas, fort bien bâti, grand, un katana dans le dos. Il murmura longtemps le prénons du beau jeune homme pour le réveiller. Le vent portai bien ses dire au oreilles du ninjas, mais celui-ci ne semblait point vouloir se réveiller. Le temps pressait et Ayame SOMA fut sorti de son lit d’une manière un peu plus violente.

Le Hokage avait sommer l’équipe 9 de se rendre au village du son. Ils devaient y éliminer un espion dangereux. S’étant préparé le plus vite possible, ses compagnons au nombre de deux lui avait expliqué la mission en route. Il avait du partir en pleine nuit pour être sur d’arriver la bas au première lueur de l’aube. La mission commença alors le plus simplement du monde part un repérage complet des lieux. Il ne suffit qu’une journée au ninjas pour identifié et traqué le mystérieux personnage.

Midi sonnait, le soleil resplendissait alors dans le ciel. Toujours embusquer, le ventre du beau ninjas se fit entendre. Ayame pris alors l’initiative d’aller chercher de quoi se restaurer pour tout le monde. Il marcha longtemps dans la rue principale du village d’Oto. S’arrêtant au premier restaurant de ramens qu’il croisa, le jeune ninjas se ruina pour faire plaisir a ses coéquipiers. Ayame laissait ses pieds le conduire, ainsi il avait sans s’en apercevoir quitté la grande rue. La ruelle qu’il empruntait maintenant ressemblait fort a un coupe gorges. Sans rien n’avoir demander a personne, deux homme se postèrent devants et derrière lui. Dans le noirceur de la ruelle le jeune ninjas pouvait apercevoir les capes noir au nuages rouges que portait ses assaillant. L’altercation fut inévitable !

Le beau Ayame, qui venait de livrer un combat éprouvant, avait beaucoup de mal a se trainer jusqu'au sous terrains du village caché du son. Son combat avait durer une éternité, mais il avait jeter toutes ses force dans la bataille, cela lui avait d'ailleurs valu la victoire. Ayant été dans un bon jours, il avait laissé ses adversaires s' enfuirent avec comme seul indice pour le retrouvé un magnifique lys blanc, fleur qu‘il affectionnait tout particulièrement.

La nuit avait donc été bien mouvementé. L'affrontement avait commencé au premier rayon de lune et s'était achevé au première lueur de l'aube. Le sommeil courait derrière lui, la rattrapant de plus en plus. Les tunnels étaient humides et froids. Les gouttes coulait du plafond et finissais leurs course dans les flaques en contrebas. Cela produisait une jolie musique, douce et calme qui ne favorisait pas l'éveil de l’ANBU

Suivant les tuyau de cuivres, et les canalisations, il arriva a un croisement. Le tunnel se déversait dans une pièce immense, éclairé par une verrière en son plafond. Plus grandes part deux fois que le palais du Hokage, Ayame avait largement la place pour y installé son bivouaque. Il avait décider après murs réflexion de se reposer ici. Il n'oserait pas se montrer si affaibli devants ses coéquipiers et surtout il aurait beaucoup de mal a expliquer se qui venait de se passer. Mieux valait pour tout le monde qu’il se repose ici.

Ses assaillant de tout a leur l’avais pousser dans ses derniers retranchement. Et alors qu’il s’apprêtait a lancer son ultime attaque, le jeune garçon fut soudain envahie d’un sensation de puissance extrême. Rien ne semblait plus impossible. Bien vite la puissance avait laisser la place a la peur, au doute. Il ne contrôlait plus se qui se passait, son chakra sortait de son corps par tout les pore de sa peau. Ayame avait franchement peur.

Ayame était un combattant coriace mais aussi un érudit. Le temps qu’il aurait du consacrer a son frère disparue, il le tuait a la lecture. Il avait développer avec le temps une soif de savoir et de connaissance sans précédent.

Ayame se souvenait encore de se que lui répétait ses parent. Toujours il lui disais avant qu’il ne part le matin pour l’académie de faire attention de ne pas trop forcer. Toujours il lui disait que si il était le plus fort il serait détester, alors Ayame faisait attention a rester dans la norme. Ayame avait forcer se jour la puissant dans ses dernières réserve de chakra et avait réveiller un secret bien garder. Un secret que même lui ignorait.

Ses livres lui avait appris qu’il était posséder par un bijjus, tout comme le ninjas le plus imprévisible, tout comme Naruto Uzumaki. Naruto, se garçon que tout le monde avait fuit par ce qu’il était différent, parce que tout le monde en avait peur, même lui l’avait fuit et a présent il se trouvait qu’il était comme lui posséder par un démon.

Arriver au centre de la pièce, il admira les lieux. La pièce était circulaire, d'environs 30 mètre de rayons a vu d'œil. Le plafond était haut, et presque entièrement recouvert d'une verrière. Cette dernière n'était pas faite de verre récupérer, mais bien fondu juste pour cette occasion, comme si des personne vivait dans ses sous terrains. Composé de plusieurs morceaux relié entre eux part des morceaux de métal, à la manière des cathédrales.

De l'autre coté de la verrière, on pouvait voir mais surtout entendre un brouhaha. Aya apercevait des maisons et des échoppes, des civils et des ninjas. Tous se monde qui se bousculait de si bon matin lassait a pensé qu’il se trouvait en dessous de la place principale. La pluie qui avait battu toutes la nuit s'était arrêté et pouvait encore en voir quelque trace sur la vitre. De minuscule gouttelette d'eau ruisselait sur la glace légèrement pentu. Ayame laissa pour le moment la verrière pour se tourner vers les murs. Il était étonnamment haut. Ils était pour la plus part couvert de mousse et d'algues. Cela s'expliquait par le fait que plusieurs tunnels étroit, qui faisait pensé a des bouche d'égout, laissait échapper un mince filet d'eau verdâtre. Il observa un moment cette eau. Elle finissait sa course sur le sol, et il clapotait joyeusement. Une brise légère vient taquiner le filet d'eau qui parti à la dérive, éclaboussant ainsi le murs d' à coté. Il avait résolu le mystère de la mousse. Il ne s'attarda donc pas d'avantage sur ce tuyau.

Continuant a scruter les murs, il rencontra plusieurs autre entré de tunnels, tous plus noirs les unes que les autres. N'ayant aucune envie de passer sa vie sous terre, il avait décider qu'il passerait a la nuit tombé par la verrière, en cassant un carreaux. Scrutant toujours les murs Aya y remarqua d'étrange marque. C'était comme si quelqu'un avait griffé le murs. Il y restait d'ailleurs incruster quelque traces de sang séché. Regardant encore plus attentivement les entrés des tunnels, il remarqua que des herse y était installé prête a se refermé. Tout se dispositif faisait étrangement pensé a une prison clandestine. Que c'était-il passer ici, qui pouvait faire une telle chose ???

Le SOMA se sentait plus que jamais gagné par le sommeil. Marchant lentement sur le sol recouvert de pavé, il rejoignait ses affaires. S'étant trouver un coin a l'abris du vent et d'une propreté convenable mais discutable. Le jeune ninjas sortait de son sac ses affaires. Ayame en sorti un matelas et une couverture de laine noires que sa mère lui avait offerte. Heureusement il avait réussi a récupérer un peu de la nourriture qu‘il avait acheté. Il pourrai donc manger se soir. La solitude lui allait bien. Aya se surprenait même a sourire ! La pitance prête, il engloutit tout a en une vitesse éclaire et se fourra sous ses couvertures.

Durant son paisible sommeil, il pensa a son amour du moment. Il savait bien qu’il ne pourrait changer. Il savait aussi que son cœur appartenait a son rivale. Jaloux oui, il l'était un peu. Mais tout était mieux pour elle. Qu'aurai t-il trouver en lui,… tout juste un monstre. Elle qui rêvait de paix, ne pouvait laisser battre son cœur pour un monstre sanguinaire assoiffé de sang. Il n'en était pas autrement.

Le jeune ninjas rêvait pour la énième fois, comme toutes le nuits, comme a chaque fois qu’il fermait les yeux, de la disparition de son frère. Il ne savait plus quoi penser. Es ce que se qu’il venait de découvrir sur lui devait expliquer que se parent est vendu son petit frère. Ses parent avait-il choisi de protéger un lourd secret, son lourd secret au peril de la vie de leurs fils. On lui avait toujours raconter que les gens qui était venu le chercher ne pouvait avoir d’enfant et que ses parent n’avait pas les moyens de s’occuper de deux enfants. Au fond de lui-même il n’y avait jamais cru, les SOMA était la famille la plus riche de Konoha après les SENJU.
Ayame se sentait seul; et il était seul. L’esprit tourmenté, il imaginait le visage de son frère. Sans que cela lui face mal, il se répétait. Pourquoi, ..Pourquoi, ………..Pourquoi,…………….



Le ninjas rouvrit les yeux au dernière lueur du soleil. Le bruit des passant sur la grande place s'était atténuer. S'était une goutte d'eau qui avait osez réveiller le belle endormi. Il le fallait bien de toutes façon. Ses coéquipiers était resté seul trop longtemps. Se levant péniblement, il ramassa ses affaires en moins de temps qu'il n'en faut pour dire OUFF ! Souffrant d'un mal de dos a tuer un bœuf, Aya avait du mal a marcher. Bien qu'ayant vécu a la dur, les pavé n'était pas le meilleur lit qu'on puisse trouver en mission. Le jeune ninjas commençais a regretter celui dans les dortoirs de l'académie. elle se souvenait d'un soirs ou n'arrivant pas a fermer l'œil elle avait gravé puis peint en lettres d'or son nom sur le devants de son lit.

Grippant au murs avec agilité, il se servait des trous entre les briques pour s'aider. Cassant un carreaux en faisant le moins de bruit possible, Ayame, ANBU de Konoha, jeta un dernier regard vers son refuge et pris le poudre d'escampette.

Il fallait maintenant retrouvé les autres et économiser ses forces au maximum, car elle était bien précieuse. Son secret devait être bien garder.